Concours : l’étéDu 21 juin au 18 juilletRésultats 20 juilletThème : l’étéConsignes : Un titre percutant comportant le mot « été » à mettre sous forme d’acrostiche rimé
Un été à l'hôtel du soleil vert a eu la médaille de bronze!
Ma seconde participation au CC
L’été en hiver
Luminothérapie dans un gros glaçon,
Eté des couleurs dans les prismes
Tempèrent mon âme, ma maison,
Energie « solar impulse » de mon cœur en séismes
Eau, air, vent, la nature reprend ses droits,
Noah reconstruit le radeau de la méduse.
Hotel des flots bleus, nous sommes comme des rois.
Iceberg, martini on the rocks, je suis ta Muse.
Vent dans les voiles par la fenêtre. Le rideau,
Elèves palmés sous les pins parasols aux cimes
Rêveurs au fil de temps, on mangeait des glaces à l’eau
Ma participation au concours de l'été 🌻
Un été à l’hôtel du soleil vert
Un moment de Samba Bugatti sur la route
Nos noces d’un été encore tout de beurre fondu
Et nous passons en trombe quand les vaches broutent
Trou du ciel au temple du soleil au zénith et du gazon tondu
Et chaque maison dans la prairie a son petit nain de jardin
Arrivés tard le soir, nous fonçons sous la douche tropicale
L’accueil était chaleureux aux terrasses des vertugadins
Hôtes du snack-bar nous nous restaurons de repas cannibale
Oignons et petits légumes, du persil dans les narines de la tête de veau
Tout se profile au cercle de minuit pour passer une nuit chaude musicale
Espérons le déluge, la fin du monde pour sauver tout ce qui reste des animaux
L’arche perdue d’Indiana Jones de mon charmant professeur d’archéologie
Départ au petit matin pour une séance spa et piscine d’un réveil en douceur
UV rayons X et a faire la lézarde et le crotale endormis au soleil de l’écologie
Scorpion dans le désert vert qui résiste aux radiations nucléaires des amateurs
Où la source du Rhin et du Rhône est née dans la caverne de spéléologie
Lucy in the sky with diamonds » avait déjà le cerveau de la femme « ordinaceur »
Et aurait pu conduire la jeep du ranger dans les déserts les plus chauds de Mongolie
Iles de mes havres de paix, ù je me ressource au soleil vert bienfaiteur
Larmes de sirènes pailletées, je te dame le pion de ma grotte aquatique
Ventres des femmes nues comme des sardines grillées qui bouchent le port
Et je métamorphose en perche-volante accoudée au bar du perroquet lunatique
Reste le rêve bleu comme une orange d’immortelle, intact, Au-delà de la mort
Thèse d’Eva qui a croquée dans l’orange et la pomme d’un Cézanne mythique.