Les poètes sont fous, que j’en suis aveuglée
Hallucinés par l’or, des rêves de Cendrars
Quand pour simplicité, pour un jour un regard
Jaloux de « Belle Green » il voulait tout brûler
D’une folie enragés n’étant plus modérés
Régnants en dictateur oubliant le nectar
D’une belle des champs des beaux jours des hasards
En sa verte prairie qui rêvait de beauté
Que l’homme est cruel à tout vouloir détruire
Que ça n’a aucun sens d’aller contre nature
Que mes chats sont paisibles au creux des coussins doux
Et mes oreilles d’âne peuvent tous les jours bruire
Que mes jours sont amour de vraie littérature
A mon grand bonnet d’âne en sirène ma proue