Ce sommeil, vertige de parfum De Musc
Où L’oxygène vital à respire la flore
En perles primordial Comme baume au cœur
D’une source ambrée, renaissance du temps
Vital le doux sommeil animé de nos rêves
Et comme dort un loir aux soucis de la vie
Récupère le temps et soulage ma mie
De l’outrenoir accrochant la lumière
Primordial, la nuit des temps s’éveille
Et d’un long séjour d’ombre, revêt l’habit d’or
Comme un « cloche-lune « à marcher sur l’étoile
Quand chante le ténor, princesse de minuit
Soleil au regard l’aube des ténébreuses nuit
En nuits blanches…
Se réveille d’un cauchemar dans le jardin zen
Du sommeil du grand Maître Haruki Murakami !