Un long dimanche de fiançailles
Lettres à lou
Il m’écrivait des poèmes
Comme Le grand Meaulnes
Dans quel château
Suis-je née ?
Et la guerre faisait râge !.
Au cercle des poètes disparus
Quand je lisais
« le flâneur des deux rives »
Qu’un grand-père Dragon
Me faisait des accroches cœurs
Au temps passé
La tête dans ses mains…
Puis,
Je me suis fiancée à l’étoile
Pour un long chemin nous deux
Gardant l’amour précieusement
Dans un écrin de verdurée, verduronnette
Un long dimanche de fiançailles
Ou je portais une robe à fleurs
Comme une vaste prairie de souvenirs
Devant lui, j'étais béate d'admiration...