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Cendrars et ApollinaireAoût 1913. Blaise Cendrars écrit à Guillaume Apollinaire : « Vos poèmes me touchent énormément, les plus anciens autant que les plus récents. Et surtout la suite intitulée Fiançailles. Vous êtes mon maître — vous êtes notre maître à tous. » Le 20 septembre suivant, il note en revanche dans le brouillon de « Crépitements » cette phrase, supprimée dans la version définitive du poème : « L’Intransigeant ce soir / Publie des vers pour carte postale de G.A. / Moi je suis triste de voir tant de gén...